Petit historique de l’épilation intime
Déjà sous l’Egypte antique, les femmes se rasaient les poils pubiens car à cette époque seul un corps lisse et sans poils était signe de beauté absolue, de jeunesse et d’innocence. L’épilation se faisait alors avec une crème à base de miel et d’huile.
De même en Grèce où les femmes avec des poils sur le sexe était considérées comme horribles notamment dans les couches les plus élevées de la société. A Rome, les femmes s’épilaient aussi le pubis mais à la pince à épiler...
En Orient, les rites prescrivaient une épilation de la zone pubienne : on faisait tomber les poils en appliquant une préparation à base de poudre d’arsenic et de chaux. C’est ainsi que sous la Rome antique, les esclaves étaient les véritables maîtres dans l’art de l’épilation qu’ils pratiquaient en utilisant de la résine.
Ces pratiques tombèrent en désuétude sous Catherine de Médicis qui interdit l’épilation notamment pour les femmes enceintes. Dans les années 20, libérées de leur corset, les femmes devinrent plus audacieuses. De leur sensualité retrouvée est née la mode de la Bush-coiffure, à savoir la mise en plis des poils pubiens.
Dans les années 60, l’explosion du libertinisme et de la pornographie fit réapparaître l’épilation intime.
Pour les Indiens, l’épilation des parties intimes est un élément essentiel de l’érotisme alors qu’en Corée l’implant de poils pubiens est courant car c’est un signe de fertilité. A l’inverse, au Japon, des perruques spéciales répondant au doux nom de « Fleur nocturne » font fureur parmi la jeunesse qui estime ne pas être assez fournie en poils et ce en raison de leur âge et de leur race.

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